LÉpouse, LAmant, LÉpoux ! 4
Une frustrante nuit détreinte lépoux dit à lépouse quils devraient user de labstinence pour durcir leurs libidos. Cela surprit lépouse mais elle y consentit.
La première nuit avant le sommeil elle lappela dans la chambre où il la rejoignit complètement nu. Elle se trouvait assise sur le rebord du lit. Saisissant la petite prison ses ongles roses caressèrent les portions atteignables du pénis chaste. Chaque fois que les doigts aux roses manucures à travers les anneaux de la cage atteignaient le gland de lhomme la cage devenait un peu plus trop minuscule pour la verge qui sallongeait, sallongeait, sallongeait, sans pouvoir sétendre entièrement.
-Elle est excitée ta bite !
Elle enfonçait un bout dongle rose dans lurètre.
-Oui !
Il grimaçait.
Une sensation de plaisir lélectrocuta quand le bout dongle rose poussa de gauche à droite par lentre de son gland. Longle rose sortit. La féminine main entoura les testicules puis les soupesa.
-Tes couilles sont toutes rouges et lourdes !
Elle pressait ses bourses.
-Cest parce quelles sont remplies de spermes !
-Elles sont déjà pleines ?
-Oui.
-Imagine leurs grosseurs pendant vingt ans dabstinence !
Elle rigolait.
Même sil essayait il ne pouvait croire aux décennies dabstinences que lui proposait son épouse parce que lérotique moment capturait toute son attention et que son pénis crevait de ne plus pouvoir sintroduire dans un vagin.
Le dessous de la robe de chambre grise dévoila des cuisses nues ensuite exposa au regard du chaste homme une culotte grise en soie, une culotte à la devanture ventrue que reniflait un vagin charnu. Les doigts roses saisirent la bite prisonnière puis caressèrent le gland rouge qui suffoquait contre les parois dacier.
Elle introduisit son majeur dans son vagin.
-Tu te souviens de cette odeur ?
-Oui !
-Tu ne la sentira plus pendant longtemps !
-Oh Non ! Non !
Le doigt moite bâillonna ses protestations. Cette première nuit chaste il sendormit facilement.
La deuxième nuit les époux se rencontrent sur le lit où lépouse en soutif et culotte rose replie ses mollets contre ses cuisses devant lépoux qui ne porte pour unique vêtement que sa cage de chasteté métallique.
-Enlève ma culotte !
-À vos ordres Madame !
Les mains mâles attnt les rebords de la culotte rose puis la décrochent de lentrecuisse ensuite la font parcourir les longues jambes enfin la déposent délicatement sur le matelas.
-Lèche ma chatte !
-Oui Madame !
Sa bouche goutte le vagin son nez respire le pubis.
-Cest bon ?
-Oui !
-Ça texcite de me lécher ?
-Oui ça mexcite !
-Tu lèches bien !
-Merci.
-La cage ta rendu meilleur lécheur !
-Peut-être.
Sous sa langue et ses lèvres elle crie de plaisir et, voir quil avale ses muqueuses vaginales la mouille abondamment.
«Le fait de te savoir encagé pendant que tu me donne du plaisir avec ta bouche ma fait jouir comme jamais ! Je crois que tu vas rester beaucoup plus longtemps en cage ! » Il proteste, il dit quil ne trouve pas ça juste, elle rétorque quelle sen fiche, que cest lui qui a voulu la cage, quil doit assumer maintenant.
Cette nuit quincarne la deuxième de son abstinence lépoux ne dort presque pas restant lucide jusquà très tard il frotte sa cage-pénis contre les fesses nues de la dormeuse.
Au moment daller au lit la troisième nuit :
-Jai quelque chose pour toi lencagé !
-Quoi ?
-Laisse-toi faire, tu verra !
Elle se dévêtira puis elle le dévêtira ensuite elle attachera un gode buccal sur la bouche de son mari que cela surprendra car il sapercevra que dobjet brise routine la cage sera devenue un moyen définitif pour son épouse de se passer de son pénis. Cela linquiétera mais paradoxalement lexcitera.
Contre les rebords droit et gauche du lit elle attachera ses bras puis à laide dune attache en cuir elle lui masquera les yeux de sorte quil se retrouvera complètement à sa merci. Pour le rassurer de la main elle caressera son visage.
Lhabituelle gode avec lequel elle se masturbe lorsque son époux ne se trouve pas dans les parages ou lorsquils veulent samuser ensemble, ce long gode vertical sur la bouche de son époux, elle le fellationnera, puis enfourchera le soumis visage au dessus duquel elle chevauchera son godemiché accroupie, assise, accroupie, assise, ainsi de suite, à ses envies. Pour plus daisance elle passera ses jambes sous les triceps du prisonnier car ainsi positionnée elle pourra chevaucher dun angle plus pénétrant son phallus synthétique.
«Une vrai bite dans mon vagin ! Pas comme cette chose dans la cage qui ne sert à rien !»
Ses fesses rondes saffaisseront sur le visage en avalant le gode noir par le canal vaginal pendant que ses doigts roses presseront les testicules chastes.
-Baise moi !
À laide de son cou des va et viens il fera, frottant, glissant, enfonçant le godemiché sombre dans le vagin.
-Cocu je baise ta face ! Oui baise moi cocu !
De plaisir elle se redressera droitement assise sur la figure que ses fesses libéreront puis écraseront contre le matelas.
-Tu veux que jouvre ta cage ?
-Oui !
-Non ! Je dois dabord jouir !
-Sil te plait !
-Cest non !
Elle mimera louverture de la cage du chaste.
«Je crois que je vais me trouver des hommes viriles. Des vrais !
Tu veux me baiser ? Je sais que tu veux me baiser. Taimerais mettre ta bite dans ma chatte ? Mais cest du passé ! Tu ne touchera plus jamais ma chatte ! »
De la bouche elle gobera les testicules rouges pendent que son cul montera au sommet du gode ensuite retombera jusquà la racine du nez chaste puis remontera, puis retombera, puis remontera, puis retombera, inlassablement, aux rythmes des plaisirs gynarchiques. Elle aimera le savoir aspirateur de ses odeurs intimes. Elle jouira en linjuriant. La mouille dégoulinera dans sa bouche. Il ne dormira pas cette nuit-là.
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